mardi 2 décembre 2008

VACCINS : UNE POLLUTION MAJEURE

VACCINS : UNE POLLUTION MAJEURE

En marge des livres de Christian Tal SCHALLER Vaccins, l’avis d’un médecin holistique et de Jean-pierre JOSEPH Vaccins, l’avis d’un avocat qui tous deux dénoncent la « folie vaccinale » cette pollution grave des populations du monde entier qui n’a aucune justification scientifique (les progrès de l’immunologie ont montré que les thèses de Pasteur étaient totalement infondées) et qui ne perdure que parce que les fabricants de vaccins gagnent des sommes colossales en empoisonnant des générations entières et ont réussi jusqu’à ce jour à museler la presse pour empêcher tout débat sur ce sujet brûlant, il vaut la peine de saluer ce documentaire :
SILENCE, ON VACCINE
Reportage sur France 5
Le MARDI 9 DÉCEMBRE 2008 À 21.45 (EXCLUSIVITÉ SOIRÉE)
La polémique concernant les risques accrus de développer une sclérose en plaques à la suite d'une vaccination contre l'hépatite B n'est pas morte.
Illustré par des témoignages douloureux et étayé par des explications scientifiques, ce documentaire dérangeant propose de faire la lumière sur ces vaccins qui se transforment en poison dans un nombre croissant de cas.
Du mercure et de l'aluminium : ce sont les substances que l'on peut trouver dans certains vaccins administrés aux enfants de manière récurrente dès leur plus jeune âge. Même si ceux-ci ont permis aux sociétés occidentales de maîtriser des fléaux comme les hépatites, le tétanos ou la poliomyélite, ce film avance qu'ils ont probablement favorisé le développement de maladies neurologiques, dermatologiques ou rhumatologiques.
A Québec, les parents du petit Alexis, 2 ans et atteint d'une encéphalite, en témoignent. Depuis qu'on lui a injecté six vaccins dans la même journée, Alexis « ne sait plus avaler, ne sait plus parler, ne sait plus marcher ».
Des études épidémiologiques américaine, française et canadienne laissent penser que le mercure, présent sous forme de conservateur dans certains vaccins courants comme l'antitétanique ou les antigrippaux, entraînerait des troubles du comportement et du développement. D'autres vaccins à base d'aluminium cette fois, à l'instar des antihépatites, pourraient provoquer des maladies neuromusculaires. Aurélie, une jeune femme pleine de vie malgré sa maladie, explique qu'elle a manifesté les premiers symptômes de la sclérose en plaques à la suite d'une vaccination contre l'hépatite B.
Bien que le nombre de victimes augmente, notamment parmi les enfants, les associations ont du mal à les faire reconnaître et indemniser, car le lien de causalité entre les pathologies et le vaccin est difficile à prouver. Aux Etats-Unis, Dan Burton, un membre du Congrès, a ouvert une enquête parlementaire sur la nature des produits contenus dans les vaccins et leurs effets sur la population. L'élu républicain regrette la négligence des autorités américaines, qui ont avalisé la mise sur le marché de vaccins dont la toxicité n'a jamais véritablement été évaluée. Il explique en outre que l'industrie pharmaceutique constitue « le groupe de pression le plus puissant de Washington », ce qui rend toute évolution législative en la matière impossible.
S'ajoutent à l'hostilité des acteurs économiques et à l'immobilisme des politiques les réticences du monde médical à remettre en cause les bénéfices des vaccins. Des réactions alarmistes pourraient en effet mettre en péril l'enjeu de santé publique que constitue la vaccination. Barbara Loe Fisher, présidente du Centre national d'information sur la vaccination aux Etats-Unis, s'interroge sur le caractère « utilitariste » de ces politiques de santé publique : « Combien de personnes peut-on sacrifier pour le bien de la majorité ? »
Les victimes et les associations qui les défendent revendiquent le droit d'être informées des produits contenus dans les vaccins et des risques encourus à la suite de leur injection. Ils émettent des réserves concernant les contraintes légales de vaccination et réclament des indemnisations en cas d'effets indésirables invalidants. Rompre l'omerta qui règne sur la possible toxicité de certains vaccins permettrait d'améliorer leur innocuité. Ce qui profiterait, d'une part, à la santé publique et limiterait, d'autre part, les drames d'individus qui développent une maladie en ayant voulu en prévenir une autre.
Le thiomersal est un agent conservateur à base de mercure présent en quantité infime dans les vaccins antitétanique, antigrippaux, antidiphtérique parmi d'autres. Selon certaines études, il pourrait entraîner des troubles neurologiques, dont des comportements autistiques.
L'aluminium est un adjuvant présent dans les vaccins antihépatites qui permet de stimuler la réaction de l'organisme contre la particule virale injectée lors de la vaccination. Il favorise donc l'immunisation de l'organisme vacciné. Au demeurant, ce composant additionnel est soupçonné de favoriser le développement de maladies neuromusculaires.
DOCUMENTAIRE
> DURÉE 52'
> RÉALISATION LINA B. MORECO
> PRODUCTION FRANCE 5 / OFFICE NATIONAL DU FILM DU CANADA / PLAY FILM
> ANNÉE 2008
http://www.france5.fr/et-vous/France_5_et_vous/Demandez_le_programme/LE_MAG/LE_MAG_N_50/articles/p-1222-Silence_on_vaccine.htm


VACCIN ANTI GRIPPE
Le Prix Nobel de Médecine et Physiologie 2006 sur l'ARN interférence explique comment une régulation du noyau et donc des gènes des cellules est exercée par des ARN doubles brins. Ces doubles ARN bloquent sur la chaîne d'ADN certains gènes. Le vaccin anti-grippe est constitué de fragments d'ARN doubles brins. Il bloque donc certains gènes. Le vaccin anti-grippe fait sur des personnes âgées, dont les gènes des cellules se ralentissent ou diminuent leur production, va donc bloquer certains gènes déjà déficients, comme c'est exposé par le prix Nobel. Il en résulte un fonctionnement anormal des cellules, au premier plan desquels les neurones ! D'où la floraison grandissante des Alzheimer actuelle qui grève le budget et la vie des citoyens et qu'on tend à nous faire croire inéluctable et pourvoyeuse d'emplois ! Faire à gogo du vaccin anti-grippe est aussi grave que le vaccin hépatite B. Le faire chez des nourrissons comme c'est programmé (élections présidentielles obligent !) va entraîner , c'est prévisible, des maladies par arrêt de fonctionnement de certains types cellulaires mais surtout va retentir sur les neurones, complétant le programme de dégénérescence de la population entamé par le vaccin hépatite B !
Dr M-H Groussac


VACCIN HEPATITE B : LE RAPPORT DE MARC GIRARD
Marc Girard montre qu’en France les autorités affectent d’ignorer l’ensemble pourtant impressionnant de la littérature internationales. D’une bibliographie de tolérance qui doit dépasser 400 références internationales, un rapport officiel (le « rapport Dartigues ») n’ conservé que 8 titres, tous favorables à la vaccination !
Les autorités ont paisiblement envisagé comme « acceptable » la survenue de dizaines de milliers de Scléroses en Plaque chez des gens jusqu’alors en parfaite santé, dont un bon nombre dans une classe d’âge (chez l’enfant) où ce type de pathologie est normalement exceptionnel !
Alors que le bénéfice réel de cette campagne de vaccination doit être proche de zéro en terme de complications évitées, les estimations de Marc Girard, fondées sur le maximum de données disponibles, conduisent à craindre plusieurs dizaines de milliers de victimes du vaccin, toutes complications iatrogènes confondues. Ce rapport est une véritable bombe qui ne peut que faire frémir les autorités dont Marc Girard dit « ceux qui, d’un point de vue technico-réglementaire, sont en charge d’établir la causalité iatrogène (en l’espèce : l’administration sanitaire qui a enclenché la campagne de vaccination, ainsi que le fabricant) sont également ceux qui ont le plus intérêt à la dissimuler ».
Il a de quoi faire réfléchir ceux qui croient encore que les multinationales pharmaceutiques sont au service de la santé des populations alors qu’elles ne sont au service que du profit économique de leurs actionnaires.

CANCER : UNE AUTRE APPROCHE QUE DETRUIRE LES TUMEURS ?
Jean Jacques CREVECEOEUR, un conférencier et auteur Québecois, a écrit :
« Savez-vous que les estimations officielles de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) révèlent qu’actuellement, 50 % des hommes et 33 % des femmes auront un cancer dans le courant de leur vie ? Savez-vous que des études épidémiologiques effectuées à large échelle et sur la période des 20 dernières années (1980 – 2000), études validées par la communauté scientifique, ont révélé que la chimiothérapie pratiquée dans la lutte contre le cancer n’est efficace que dans 2 % des cas ? Savez-vous que, sauf cas de guérison « spontanée » du cancer, la chirurgie utilisée contre le cancer connaît 20 % de récidive du cancer au même endroit et 80 % d’apparition d’un autre cancer dans une autre région que celle ayant subi l’opération ? Savez-vous que le cancer frappe les personnes à un âge de plus en plus précoce ? Tout cela, c’est le bilan de quarante milliards de dollars investis sur les trente dernières années !
> Pourtant, des solutions alternatives existent.
> Mais vous savez sans doute que des informations alternatives sur la santé ont souvent beaucoup de difficultés à passer dans les grands médias (télévision et radio). Surtout quand ces informations se révèlent efficaces et pertinentes pour la santé des individus qui veulent se guérir autrement. Et surtout aussi, lorsque ces approches alternatives sont beaucoup moins coûteuses pour les caisses d’assurances maladie (quelle ironie quand même !).
> C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de réduire énormément mon activité de conférencier et de formateur, pour me former à la scénarisation, à la réalisation et à la production audio-visuelle. »

Il a réalisé « SEUL CONTRE TOUS » sur la vie et l’œuvre du docteur R.G. HAMER. Tous les détails sur son site : http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/
PS Si vous voulez lire l’histoire extraordinaire de ceux qui, au lieu de se cantonner à un rôle de victime impuissante ont choisi de se guérir par une démarche personnelle d’apprentissage de la santé, ne manquez pas de lire Artisans de leur guérison, 17 guérisons holistiques du docteur Christian Tal SCHALLER. Un livre qui donne espoir à ceux que l’on a trop vite condamnés !

1 commentaire:

  1. c'est au cours de mes recherches sur le vih/herpès/diabète que je suis tombé sur les informations sur le vih/herpès/diabète ; information assez facile à trouver lors d'une recherche de std sur google. J'étais dans un complot à l'époque et je pensais que la guérison du vih / de l'herpès était un complot était quelque chose d'ignorant, j'ai trouvé cela assez intéressant à propos de la phytothérapie dr itua. J'ai posé des questions sur les remèdes à base de plantes sur les sites Web officiels sur le VIH/herpès/diabète et j'ai été banni pour cela par des modérateurs qui m'ont dit que je parrotais la propagande sur le VIH/herpès. cela a renforcé ma conviction qu'il existe un remède contre le vih / l'herpès / le diabète, puis j'ai trouvé une dame allemande du nom d'achima abelard dr itua pour la guérir du vih / du diabète, alors je lui ai envoyé un courrier à propos de ma situation, puis j'en ai parlé davantage et m'a envoyé son phytothérapie j'ai bu pendant deux semaines.et aujourd'hui je suis guéri pas de vih/herpès/diabète dans ma vie, j'ai cherché des groupes de vih/herpès pour tenter d'entrer en contact avec des gens afin d'en savoir plus sur le vih/herpès cure à base de plantes je croyait à ce moment que vous avez la même maladie que cette information vous est utile et je voulais faire de mon mieux pour diffuser cette information dans l'espoir d'aider d'autres personnes. ce dr itua guérit le vih, l'herpès, l'hépatite, le diabète, neuromusculaire maladies copd, fibrome, als et cancer. c'est un phytothérapeute avec un cœur de dieu unique, contactez emal..drituaherbalcenter@gmail.com www.drituaherbalcenter.com.

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