Question C :
(de X…….. du M II) bonjour Thierry,
(concernant le clinique de juin) …. qui seraient les malades ?
de vrais malades extérieurs ou des étudiants cobayes ?
J'ai bien pris note des tomes à revoir et m'y atèle. Merci.
brrrr, dommage que je ne vous ai pas connu lorsque j'étais en Métropole.
j'y ai été 5 ans sans jamais avoir pensé à ce mode de pensée, je n'étais pas très loin de Sceaux et ma belle-mère habite Montélimar pour les séminaires tout près de St Marcellin.
Brrr.
je voulais vous demander en attendant d'approfondir le chapitre sur les étoiles (j'attends ma marraine),
je suis prête à attaquer l'étape suivante.
Il ne me reste plus grand chose à lire.
Et vu le temps que cela va me prendre pour les impressions, je voudrais anticiper les choses puisque aussi je serai absente durant 10 jours au mois de mai pour l'île Maurice et aimerais bien apporter quelque travail à faire.
Merci, cordialement
C
Réponse T :
juin, c'est un clinique donc nous soignons uniquement.
Pas de matériel si ce n'est une jolie robe pour la fête du 28.
Travail = tous les aspects cliniques = questionnaires à bien connaître (Yin / Yang et vide / plénitude) + poly III tome 1 = les 4 temps du diagnostic.
Enfin, les poly Yin / Yang sur la thérapie = tomes 4 et 5
dommage de ne pas venir à la semaine de mai, c'est beaucoup plus profitable.
à très bientôt.
TB
Perdu la réponse de C ….
Réponse T :
c'est exactement cela.
Pour le pouls, lorsqu'il sera vide eh bien cela sera évident par rapport aux autres déjà pris et normaux.
Quant au plein, c'est pareil à l'inverse ;
Quand au dur eh bien c'est la même chose.
Il faut travailler la sensation que l'on perçoit.
Il faut bien suivre ce qui est dit sur la pose des doigts et sentir avec des yeux au bout des doigts.
Lorsque le pouls est mou, c'est hyper évident et inversement.
Cela montre encore le besoin de travailler le ressenti et laisser de côté la tête et la théorie.
En 1ère année on ne demande à l'étudiant que d'apprendre à sentir ce que personne ne sait faire et cela personne ne peut le faire pour vous.
Cordialement,
TB
les malades sont mixtes mais je privilégie les étudiants qui en ont souvent grand besoin et pour vivent l'expérience de l'énergétique.
Les nouveaux poly arrivent d'ici mi mai.
Lire est une chose mais apprendre ce qui doit l'être, donc mémoriser, et intégrer demandent bien plus de temps, donc relisez, par passages, en feuilletant, ou par envie intuitive.
Faites le régulièrement.
Avec le plaisir de vous voir bientôt,
TB
Réponse C :
Bonjour T,
Non, je n'ai pas envie (je n'aimerai pas) d'être une fleur qu'on ferait grandir sous serre sans âme sous de l'engrais et avec une lumière artificielle.;-)
Enfin, c'est mieux tout de même ;-)
Oui, je comprends.
prendre le temps de grandir et ainsi développer cette sensibilité qu'on a oubliée.
M'imprégner de toutes ces notions suffisamment denses et prendre le temps de pousser progressivement (doucement mais sûrement) au lieu d'ingurgiter à la va vite plein d' infos sans avoir eu le temps de m'en imprégner et d'évoluer au rythme du vent, du soleil et de la pluie.
Assimiler, aller doucement.
D'accord, merci de me le rappeler, j'ai tendance à vouloir aller trop vite, toujours en activité (pas toujours efficace dans le cas de cette apprentissage qui demande de sentir et du temps).
Mais quand même, comment sentir le vide-plénitude, mou-dur du pouls ?
même si je prends 600 pouls ... qui me dirait que c'est dur, que c'est vide.
c'est comme si je tâtais tous les objets chauds et froids sans savoir ce qu'est la sensation du chaud et du froid.
Tu me diras, c'est l'objet des séminaires ... je sais !
c'est ce qui est d'autant plus frustrant.
Je suis en train de reprendre chaque poly et lire régulièrement pour le mettre dans ma mémoire permanente.
et je m'aperçois que c'est efficace.
merci encore !
mais sinon pour parler, je peux téléphoner, il existe des cartes peu chère pour la Métropole.
Cependant cela me gêne de t'appeler connaissant ton rôle au sein de l'école.
à bientôt
C
Réponse T :
Encore attention à ne pas en faire trop.
Tu es une femme, alors profite de ta subtile sensibilité pour vivre l'énergie dans le réel, dans le quotidien, dans chaque chose, plutôt choisir les belles fleurs que la misère humaine.
L'intellect est une chose, une voie d'information, mais l'énergie est dans le subtil qu'il faut réveiller en nous car notre éducation occidentale nous l'a capturé au profit du mental.
Tu as bien assez à faire avec les polycopiés. Il faut apprendre à lire l'énergie dans la nature. Le ciel avec ses nuages et leur hauteur, denses ou ténus. Selon la hauteur, tu sais où est l'énergie dans les 3 foyers, selon leur densité tu sais où en est leur humidité (eau ou glaires), avec le vent tu sais où ils se dirigent et s'ils vont s'alourdir ou s'atténuer.
Et les fleurs, se trompent-elles avec le soleil et la chaleur. sont-elles ouvertes (Yang) ou fermées (Yin). Si tu le vois, tu sais s'il faut que tu sortes de chez toi ou y rester.
Etc ....
Ne cherche pas encore à comprendre (avidité occidentale) mais à sentir. Prends les pouls, et prends encore, et encore.
Les infos vont arriver progressivement.
As tu envie d'être comme une fleur que l'on pousse chez les fleuristes à coups d'engrais et qui meurent tout de suite une fois à la maison, ou de celles qui mûrissent et croissent à leur rythme, progressivement et feront les plus belles plantes qui soient ?
Bon, il ne nous manque que MSN et skype pour se voir et parler en direct.
Mais j'ai des problèmes pour l'installer à cause de MSN.
Fais le de ton côté et on voit si on arrive à se connecter.
A bientôt,
TB
Réponse C :
et donc, pour aller plus loin,
l'acupuncture serait plus une philosophie qu'une thérapie classique (notre médecine occidentale), tout serait dans les ressentis avec en prime abord cette sensibilité des choses, des personnes qu'on aura à côtoyer en tant qu'humain à part entière et non en tant que malade.
Ressentir presque ce qu'il sent lui-même (aussi bien psychique, organique ou sentimental), ce qu'il éprouve dans sa chair, dans son coeur, dans ses tripes au plus profond de sa chair et ainsi saisir les énergies qui l'affectent, qui lui sont trop plein ou trop vide ...
à confirmer avec la prise de pouls.
Cette philosophie ne s'apprenant pas dans les livres, mais s'imprégner tous les jours des bases ( ce que nous apprenons donc en première année du macrocosme puisque c'est la représentation du microcosme donc du corps humain) cette philosophie nouvelle mais vieille de nos aïeux chinois et s'en imprégner de ces bases chaque jour jusqu'à la profondeur de notre chair jusqu'à vivre avec et ressentir avec.
Waouhhh, si c'est çà.
J'y adhère totalement.
et me remplit d'avance de bonheur d'entrer dans cette école et d'aller bientôt à ce stage en juin.
waouh ; merci T.
Réponse T :
voilà, vous y êtes, tout du moins pour l'enseignement que nous donnons, ce qui n'est pas le cas classique mais, et surtout, pas celui des Chinois, ne vous y trompez pas.
Tout ceci est perdu depuis bien longtemps, au moins depuis Gengis Khan qui était Mongol et a trucidé la plupart des savants Chinois, comme les Arabes lors de la conquête de l'Egypte.
Vous y êtes ... commencez-vous à vous sentir vous même, cela commence là !
Mais rappelez vous aussi que nos propres aïeux, pas si loin que cela, avaient la même connaissance de la " Terre ".
Cela est en vous, en nous tous mais l'intellect du formatage de notre éducation et de nos études depuis la dernière guerre a massacré tout cela.
Heureusement, la nature est forte, comme la graine capable d'attendre des centaines d'années l'humidité de la nature féconde.
Ne m'en veuillez pas de la comparaison, mais elle est tellement vraie, comment imaginer faire l'amour sans un vagin humide ?
La vie est identique à la Vérité des sentiments et des sens liés à cette l'humidité.
L'homme, le mâle, n'est rien si cette humidité du " Désir " n'est pas là car cela signifie que la femme n'est pas là, n'est pas dans le désir.
Elle se donne, elle ne s'offre pas. Donc, elle est fausse.
Or, cette vérité de l'énergie est la même que celle du Coeur (ou du " ventre ", c'est pareil).
Entrez en vous même au fur et à mesure que vous entrez dans " l'autre " en prenant ses pouls car, vous l'avez compris maintenant, il faut entrer " dans " l'autre pour percevoir (perce - voir) qui il est et non ce que l'on attend qu'il nous montre, surtout pour nous rassurer dans notre savoir !
Vous y êtes, maintenant, vraiment, vous avez compris, senti pour l'instant, comment il faut prendre les pouls !
Oubliez les règles, elles ne sont que le cadre, indispensable pour réussir la palpation, mais oubliez tout, fermez les yeux et ressentez simplement ce que les pouls vous disent ... un marécage, une lance, un étendard qui flotte au vent, des vapeurs ... que ressentez vous ?
Ressentez vous une flasque passivité, une impétueuse agressivité, une mollesse de passivité, une combativité, ... déjà vous savez, quoique vous fassiez en traitement, comment réagira votre patient, vous savez ce qu'il attend de vous, s'il veux véritablement se battre pour se guérir ou s'il vient seulement chercher un placebo à son existence lamentable sans intention d'en sortir et, parfois, avec la ferme intention de ne jamais s'en sortir ... c'est tellement bon de se plaindre tout le temps et d'accuser les autres, son conjoint, les voisins, le Gouvernement !
Le pouls est la seule chose où le Patient ne peux pas tricher avec son thérapeute, le pouls est comme la fleur qui s'offre à sa contemplation, mais il faut justement la contempler et ne pas chercher à la faire dans le cadre rigoureux du mental.
Cela est le travail de la première année.
A bientôt en juin, donc.
TB
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